RADAR 2014 – International Radar Conference

The French SEE Society (Société de l’Electricité, de l’Electronique, et des Technologies de l’Information et de la Communication) organises RADAR 2014 in Lille, Grand Palais,
from 13 to 17 of October 2014.

The conference will be organized in the frame of the international relations set up between the Institution of Engineering and Technology (IET), the Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE), the Chinese Institute of Electronics (CIE), the Institution of Engineers Australia (IEAust) and the SEE.

The conference will focus on new research and developments in the field of radar techniques.

Topics to be covered at Radar 2014 include (but are not confined to):

  • Radar Environment and Phenomenology , Electromagnetic Modeling
  • Radar Systems
  • Remote Sensing from Airborne or Spaceborne Systems, SAR & ISAR Imagery
  • Waveform Design, Beamforming and Signal Processing
  • Emerging Radar Applications
  • Smart Visualization and Information Processing (Augmented Reality, « big data »)
  • Radar System Technologies
  • Radar Component Technologies
  • System Modeling, Simulation and Validation
  • Radar Management Techniques
  • Automatic classification

 

>> Technical programme

Le projet « OVMI » obtient le Micron d’Or

Les Microns d’Or – l’Innovation récompensée.

Les Microns d’or attribués à l’occasion du salon Micronora récompensent des réalisations microtechniques innovantes présentées pour la première fois dans le cadre du salon. Ils s’imposent à chaque édition chez les professionnels comme un gage incontesté de l’innovation

L’IEMN obtient le Micron d’Or au salon international des michrotechniques et de la précision (Besançon, FRANCE). dans la catégorie  microsystèmes réservés aux organismes de recherche avec le projet « OVMI » encadré par Eric Cattan pour la réalisation d’un Objet Volant Mimant l’Insecte (OVMI) utilisant les technologies MEMS devant conduire à la génération de nouveaux nanodrones destinés à la surveillance et à l’inspection.

Six classes des Microns d’Or  respectent la grande diversité de la filière :

• composants microtechniques
• sous-ensembles associant des composants microtechniques
• appareils intégrant des composants microtechniques
• outillages et instruments de production
(outils de découpage, de moulage, formage, instruments de contrôle…)
• machines outils et machines de production microtechniques, automatismes,
accessoires
• prototypes microsystèmes réservés aux organismes de recherche

 

©Pierre Guenat

 

 

 

 

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EEA – Les journées de la section Electronique

Les journées EEA de la section Electronique,
autour de la thématique « Electronique souple »,
auront lieu à Lille les 20 et 21 Octobre 2014,
Amphithéâtre IEMN-LCI.


Vous êtes tous, et notamment les doctorants et jeunes docteurs diplômés œuvrant dans ces domaines, invités à soumettre vos travaux et à venir les présenter lors des sessions posters sur les différentes thématiques relatives à l’électronique souple :

  • élaboration des matériaux: supports, encres,…
  • réalisation des composants: passifs, actifs, report,…
  • applications: capteurs, récupération d’énergie, RFID,…

Ces thématiques seront introduites par différentes conférences invitées.

Une table ronde regroupera académiques et industriels autour du sujet: « Quels enseignements pour l’électronique souple ? »

Le programme détaillé ainsi que toutes les modalités d’inscription sont disponibles sur le site des journées : http://eeaelectronique2014.iemn.univ-lille1.fr .

Date limite pour les inscriptions et soumissions de résumé: 3 octobre 2014

Dès à présent, pensez à réserver ces dates sur vos agendas !

Comité d’organisation:
Christelle Aupetit-Berthelemot (Xlim, Limoges), Stéphane Beaussart (ISEN, Lille), Michèle Carette (IMN, Nantes), Elie Lefeuvre (IEF, Paris Sud),   Marie Lesecq (IEMN, Lille), Anne-Lise Maréchal (AFELIM), Patrice Miska (IJL, Nancy), Emiliano Pallechi (IEMN, Lille), Fabien Pascal (IES, Montpellier), Jean-Pierre Vilcot (IEMN, Lille)

 

 

 

Projet SMMIL-E – Signature de la convention

Le CNRS, l’Université Lille1, l’Université de Tokyo et le Centre Oscar Lambret ont signé le 16 juin une convention fixant les bases de leur partenariat pour la création du projet SMMIL-E.
Cette plate-forme sera la première implantation de recherche de l’Institut des Sciences Industrielles de l’Université de Tokyo en Europe, elle est soutenue par le CNRS, le centre Oscar Lambret et l’Université de Lille I.

SMMIL-E porte sur le transfert et le développement en région Nord-Pas de Calais de micro-technologies de type Bio-MEMS* issues du LIMMS/ CNRS-IIS, une unité mixte internationale entre le CNRS et l’Institut des Sciences Industrielles de l’Université de Tokyo (IIS). La convergence des bioMEMS et d’une recherche structurée contre le cancer ouvre un champ d’investigation scientifique extrêmement riche. Ce projet vise la mise en synergie des technologies du LIMMS (Laboratoire pour les systèmes Micromécatroniques intégrés) et les enjeux biomédicaux du Siric Onco-Lille dans le cadre du GIS SIRIC-ONCO-Lille. Au Japon, l’usage et le développement des microsystèmes dans le domaine de la Biologie et de la santé connait un essor considérable. Leur niveau de maturité technologique leur permet maintenant d’être intégrés à des protocoles de recherche clinique.

Ces activités de recherches seront effectuées en lien étroit avec l’IEMN, dans une nouvelle plate-forme de l’Université de Tokyo qui sera située sur le site du Centre Oscar Lambret, au sein même du Pôle hospitalo-universitaire, afin d’être au plus près des équipes médicales.

Ce projet SMMIL-E est également un enjeu important, notamment dans le cadre de la candidature du Nord – Pas-de-Calais aux Initiatives d’excellence pour la reconnaissance internationale d’universités de recherche intensive. Il est inscrit comme prioritaire dans les documents préparatoires au futur contrat de projets Etat-Région 2014-2020, pour un montant de 4,5 millions d’euros en ce qui concerne la participation de l’Etat.

Les objectifs sont nombreux et donc directement liés au patient atteint d’un cancer : détection en amont de cellules tumorales circulantes, isolation et analyses ; recherche in vitro sur les mécanismes métastatiques ; Etudes des mécanismes biophysiques de dégradation d’ADN sous radiothérapie ; culture et localisation de cellules pour l’analyse de leur dormance tumorale, et croissance de néo tissus cellulaires pour la cicatrisation post chirurgicale.

Ce programme vise, par cette recherche en amont, de nouvelles connaissances fondamentales pour une détection plus efficace de la maladie, une efficacité renforcée des thérapies et du suivi post-traitement pour une meilleure prise en charge du patient.

Pour que les recherches aient un réel impact sur la Lutte contre le Cancer, ces technologies seront installées au sein d’une nouvelle plateforme de l’Université de Tokyo, localisée au Centre Oscar Lambret afin d’être au plus près des équipes médicales

A l’horizon 2018, un nouveau bâtiment de 1000m2 sera construit dans son enceinte.

Cette structure sera composée :

  • Une salle, de réalisation de microsystèmes pour la biologie et la santé, à empoussièrement contrôlée et thermo-régulée
  • Des plateaux d’expérimentation des bio-MEMS pour les tests biologiques et médicaux
  • Un espace technique de stockage et de montage
  • Un espace d’échange scientifique pluridisciplinaire
  • Visionner les interventions de cette journée

Pour visionner les interventions de cette journée sur Lille1.TV,  Cliquer ICI

Intervenants :
Lionel Buchaillot, Directeur de l’Institut d’Electronique de Microélectronique et de Nanotechnologie (IEMN). Dominique Bur, Préfet de région. Dominique Collard, Directeur du laboratory for Integrated Micro-Mechatronic Systems (LIMMS) et Directeur de recherche CNRS. Alain Fuchs, Président du CNRS. Téruo Fujii, Directeur du laboratory for Integrated Micro-Mechatronic Systems (LIMMS) et Directeur Général adjoint de l’IIS / Université de Tokyo. Eric Lartigau, Directeur du SIRIC ONCOLille (Site de Recherche Intégrée sur le Cancer).  Bernard Leclercq, Directeur du Centre Oscar Lambret. Philippe Rollet, Président de l’Université Lille1 élu en 2007 et 2012, Représentant de la CPU, Directeur du laboratoire MEDEE UPRES-EA 1039 (Mécanismes Economiques et Dynamiques des Espaces Européens) de 1991 à 2005, docteur honoris causa Université de Timisoara, Chaire Jean Monnet. Tomonari Yashiro, Vice-Président de l’Université de Tokyo.

* Les bioMEMS sont des dispositifs extrêmement miniaturisés permettant la caractérisation de biomolécules -ADN protéines-, l’isolation de cellules uniques et la croissance de tissus cellulaires in vitro.

Références :

Pose de la 1ère pierre de l’extension de l’IEMN


Le CNRS, l’Université Lille 1, l’Université de Valenciennes et du Hainaut-Cambrésis, l’ISEN et l’Ecole Centrale de Lille, tutelles et partenaires de l’Institute of Electronics, Microelectronics and Nanotechnology (IEMN) ont organisé mardi 10 juin, la pose de la première pierre de l’extension de l’IEMN; en présence de Jean-Yves Marzin, Directeur de l’Institut des sciences de l’ingénierie et des systèmes (INSIS) ; Patrick David, Adjoint au secrétaire général pour les affaires régionales ; Sandrine Rousseau, Vice-présidente déléguée à l’enseignement supérieur et à la recherche au Conseil régional Nord-Pas de Calais ; Guillaume Delbar, Vice-président de Lille métropole ; Philippe Rollet, Président de l’université Lille 1 et Président de la ComUE ; Françoise Paillous, Déléguée régional Nord-Pas de Calais et Picardie et Lionel Buchaillot, Directeur de l’IEMN.

Ce projet d’extension a pour objectif d’accroître les capacités du laboratoire de près de 2000 m2 SHON, et par là-même, de permettre de porter l’infrastructure de la centrale de caractérisation et la plateforme en champ proche au standard international.

La fin des travaux est prévue pour mars 2015.

 

Extension Bâtiment IEMN : Nouvelles plate-formes dédiées aux nanosciences expérimentales

Le projet d’extension bâtiment de l’IEMN émane du plan « grand campus » associant le CNRS, Lille Métropole, la Région Nord-Pas de Calais et le Feder-Europe. Son budget est de 6M€ et le CNRS en est le maître d’ouvrage. Un nouvel espace (2239m² SHON), réparti sur quatre niveaux sera dédié à de nouvelles plate-formes expérimentales dans un environnement conditionné et contrôlé (vibrations, champ électromagnétique, température, humidité et particules ISO8).

Ces espaces expérimentaux répondront aux objectifs scientifiques du projet de l’EQUIPEX ExCELSiOR, dans le domaine de la caractérisation aux échelles nanométriques et également des recherches dans le domaine de la microfluidique. Ce nouvel espace a pour ambition de compter parmi les plateformes académiques européennes dans le domaine expérimental des nanosciences.

La plate-forme ExCELSiOR est répartie sur trois niveaux :

Le rez-de-chaussée sera dédié aux équi-pements de microscopie à l’échelle atomique, incluant en particulier un microscope à effet tunnel (STM) 4 pointes et un microscope à force atomique (AFM) très basse température (1,5 Kelvin) dont très peu d’exemplaires sont présents dans les laboratoires européens.

Deux niveaux supérieurs du bâtiment seront consacrés aux mesures très hautes fréquences allant des fréquences micro-ondes aux Térahertz. De nouveaux instruments permettront d’effectuer des caractérisations à l’échelle du nanomètre.

La plate-forme micro-fluidique occupera le troisième étage du bâtiment.

L’espace sera organisé autour d’une salle de préparation des dispositifs fabriqués en salle blanche (stérilisation, d’encapsulation, connectique des dispositifs…), d’une zone de caractérisation (électrique, optique et mécanique) et d’une zone biologie dédiée à la culture cellulaire.

Ces moyens supplémentaires seront un atout considérable pour les futurs projets dans les domaines des nanotechnologies, des matériaux et de la biotechnologie pour les applications des grands enjeux sociétaux (santé, environnement, énergie, technologies de l’information…).

Le bâtiment est conçu de manière à recevoir ces nouveaux équipements et permettra aux personnels scientifiques et techniques de ces plate-formes d’accueillir des projets académiques et industriels nationaux et internationaux.

 

Fiche complète au format pdf Voir les articles de presse

 

Journée Nanotechnologies

Projet NANOSCOOPE (ICAM, AISEN, IEMN) et pôles de compétitivité (Maud, Up-Tex, i-Trans, Team2, NSL)

 

Développement des nanomatériaux et nanotechnologies en Région Nord – Pas de Calais : enjeux et perspectives
25 juin 2014 – 9h30 à 17h – IEMN, Cité Scientifique, Avenue Poincaré, 59652 Villeneuve d’Ascq

 

Le projet NANOSCOOPE est un projet chercheurs-citoyens financé par la Région Nord – Pas de Calais et consacré aux enjeux du développement des nanomatériaux et nanotechnologies. En lien à différents pôles de compétitivité de la Région, le projet organise le mercredi 25 juin une journée à destination spécifique du monde socio-économique. Les nanotechnologies sont riches de promesses dans de nombreux domaines (matériaux, énergie, santé, textile, électronique, bâtiment, etc.), mais de nombreuses incertitudes (notamment sanitaires) pèsent sur leur développement. L’objet de la journée est de présenter des applications faisant usage des nanomatériaux et nanotechnologies, et de questionner le contexte règlementaire, sanitaire et sociétal dans lequel elles s’inscrivent. Il s’agira également de susciter une réflexion collective sur les avantages et les risques liés aux différentes avancées en ce domaine.


Programme détaillé

Inscription gratuite et obligatoire par courriel à :
fernand.doridot@icam.fr


 

Rencontre thématique « Phononique, Métamatériaux acoustiques, Optomécanique »


La prochaine réunion du groupe thématique GT2 du GDR « Ondes » aura lieu les 19 et 20 Juin 2014 au laboratoire central de l’IEMN, Villeneuve d’Ascq

 

Journée du 19 juin 2014 Journée du 20 juin 2014
La première journée sera consacrée aux matériaux phononiques avec le but de favoriser les échanges entre nos deux communautés. Trois exposés sont prévus pour présenter les thématiques générales sur les cristaux phononiques, les métamatériaux acoustiques et l’interaction du son et de la lumière dans les structures optomécaniques :
Vincent Tournat (LAUM, Université du Maine) :
Cristaux granulaires phononiques : non-linéarités et influence de la micro-rotation
Geoffroy Lerosey (Institut Langevin, espci
) :
Matériaux composites localement résonants: métamatériaux ou cristaux pho(t/n)oniques sub-longueur d’onde ? Le cas des canettes de soda en acoustique
Ivan Favero (Laboratoire MPQ, Université Paris-Diderot) :
On-chip nano-optomechanics
La deuxième journée portera sur des thèmes traditionnels du GDR et pourra couvrir toutes les thématiques du GT2 (nano-optique, cristaux photoniques, métamatériaux, microcavités, milieux complexes, biophotonique).
Cette rencontre permettra à chacun de soumettre sa dernière contribution, achevée ou en cours, avec une attention particulière donnée aux travaux des doctorants. Les contributions peuvent être présentées sous forme de communication orale ou par affiche.

 

Soumission des contributions :

Merci d’envoyer vos contributions (1 page de résumé au format PDF en utilisant le canevas suivant : canevas.doc )
– à Yan Pennec (yan.pennec@univ-lille1.fr) pour la première journée
– ou à Eric Lheurette (eric.lheurette@iemn.univ-lille1.fr) pour la deuxième.

Nous demandons à toutes les personnes participant à la réunion (présentant un exposé ou non) de s’inscrire auprès de Yan Pennec (yan.pennec@univ-lille1.fr) ou de Eric Lheurette (eric.lheurette@iemn.univ-lille1.fr), en remplissant la fiche d’inscription page suivante : inscription.doc

 

Inscription obligatoire (pour des questions d’organisation de repas)
Date limite (inscription et soumission des résumés) : 23 Mai 2014

 

Demandes de remboursement par le GDR

Toute demande de remboursement des frais de transport et d’hébergement sera examinée par les organisateurs de la manifestation. En cas d’approbation, une fiche de renseignements sera transmise au bénéficiaire et devra être retournée à Karima Lamrid (gestion-gdrondes@supelec.fr) pour un remboursement a posteriori. Les demandes motivées doivent être transmises (yan.pennec@univ-lille1.fr, eric.lheurette@iemn.univ-lille1.fr) le 23 Mai 2014 au plus tard.

 

Yan Pennec (yan.pennec@univ-lille1.fr),
Vincent Laude (vincent.laude@femto-st.fr)
Eric Lheurette (eric.lheurette@iemn.univ-lille1.fr)
Eric Cassan (eric.cassan@ief.fr)
Alexandre Bouhelier (alexandre.bouhelier@u-bourgogne.fr)

 

 

 

 

Journées Nationales du Réseau Doctoral en Microélectronique

Pour la 2ème fois depuis la création des JNRDM, l’événement aura lieu à Lille les 26-27-28 mai 2014. Cette 17ème édition est organisée par l’IEMN sur le site de l’Université Lille 1 – Sciences et Technologies, dans les locaux de l’École Centrale de Lille.

L’objectif de ces journées est de permettre aux jeunes chercheurs de présenter leurs travaux dans le cadre du rassemblement des acteurs de la recherche française en micro-nanoélectronique. Cette conférence est donc l’opportunité pour les doctorants, les partenaires industriels et les chercheurs de se rencontrer et d’échanger sur l’ensemble des thématiques concernant la microélectronique et les nanotechnologies, renforçant ainsi le réseau à l’échelle nationale, notamment au travers des pôles français du RDEMN.

Un peu d’histoire ….

C’est dans le cadre du fort développement de la microélectronique et des nanotechnologies que s’est créé en 1998 le Réseau Doctoral Européen en Micro Nanoélectronique (RDEMN). Ce réseau, soutenu par le Ministère de l’Éducation Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, est géré par des doctorants et des responsables permanents du Comité national de Formation en Microélectronique (CNFM).

Depuis sa création, le réseau soutient l’organisation des Journées Nationales du Réseau Doctoral en Microélectronique (JNRDM) qui se déroulent chaque année pendant trois jours. L’originalité de cette conférence réside dans le fait que son comité de pilotage est uniquement composé de doctorants. Les JNRDM sont l’évènement majeur annuel du RDEMN. Cette manifestation est ouverte à l’ensemble des acteurs de la communauté scientifique en micro-nanoélectronique.

150 intervenants sont attendus et les sessions seront accessibles à tout public.

Les JNRDM offrent la possibilité d’échanger des idées nouvelles et de se tenir informé(e) des avancements les plus récents sur les thématiques actuelles de recherche en micro-nanoélectronique.

Date de limite de soumission : Close depuis le 16 mars 2014
Notification d’acceptation : 31 mars 2014

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JNRDM 2014

Journées Nationales du Réseau Doctoral en Microéletronique

Pour 2ème fois depuis la création des JNRDM, l’événement aura lieu à Lille les 26-27-28 mai 2014. Cette 17ème édition est organisée par l’IEMN sur le site de l’Université Lille 1 – Sciences et Technologies, dans les locaux de l’École Centrale de Lille.

L’objectif de ces journées est de permettre aux jeunes chercheurs de présenter leurs travaux dans le cadre du rassemblement des acteurs de la recherche française en micro-nanoélectronique. Cette conférence est donc l’opportunité pour les doctorants, les partenaires industriels et les chercheurs de se rencontrer et d’échanger sur l’ensemble des thématiques concernant la microélectronique et les nanotechnologies, renforçant ainsi le réseau à l’échelle nationale, notamment au travers des pôles français du RDEMN.

Un peu d’histoire ….

C’est dans le cadre du fort développement de la microélectronique et des nanotechnologies que s’est créé en 1998 le Réseau Doctoral Européen en Micro Nanoélectronique (RDEMN). Ce réseau, soutenu par le Ministère de l’Éducation Nationale, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, est géré par des doctorants et des responsables permanents du Comité national de Formation en Microélectronique (CNFM).

Depuis sa création, le réseau soutient l’organisation des Journées Nationales du Réseau Doctoral en Microélectronique (JNRDM) qui se déroulent chaque année pendant trois jours. L’originalité de cette conférence réside dans le fait que son comité de pilotage est uniquement composé de doctorants. Les JNRDM sont l’évènement majeur annuel du RDEMN. Cette manifestation est ouverte à l’ensemble des acteurs de la communauté scientifique en micro-nanoélectronique.

150 intervenants sont attendus et les sessions seront accessibles à tout public.

Les JNRDM offrent la possibilité d’échanger des idées nouvelles et de se tenir informé(e) des avancements les plus récents sur les thématiques actuelles de recherche en micro-nanoélectronique.

Date de limite de soumission : Close depuis le 16 mars 2014
Notification d’acceptation : 31 mars 2014

 

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IEMN and EpiGaN : a record combination of specific on-resistance and breakdown voltage

Institute of Electronic, Microelectronic and Nanotechnology (IEMN) in France and EpiGaN nv in Belgium have claimed a record combination of specific on-resistance and breakdown voltage for a double heterostructure field-effect transistor (DHFET) using a gallium nitride (GaN) channel and aluminium nitride (AlN) barrier on silicon (Si) substrate [Nicolas Herbecq et al, Appl. Phys. Express, vol7, p034103, 2014].

The team tackled leakage problems from substrate conduction by locally removing silicon from beneath critical parts of the device to achieve a breakdown voltage of 1.9kV with a specific on-resistance of 1.6mΩ-cm2.

The epitaxial nitride semiconductor layers for the transistor (Figure 1) were grown by metal-organic chemical vapor deposition (MOCVD) on 4-inch silicon (111) substrates. The 3nm silicon nitride (SiN) layer produced in-situ in the MOCVD reaction chamber provided early passivation and also prevented strain relaxation and increased surface robustness.

 

Schematic of AlN/GaN/AlGaN DHFET with local substrate removal.

The use of an AlN barrier gave a high electron carrier density of 2.3×1013/cm2 with mobility 990cm2/V-s. The sheet resistance was 280Ω/square. The device included an AlGaN back-barrier/buffer to further improve breakdown performance by reducing leakage.

The transistor fabrication began with titanium/aluminium/nickel/gold ohmic contact formation on the AlN layer after etching through the cap layer. The contact metals were annealed at 875°C. The devices were isolated with nitrogen implantation.

Fabrication continued with plasma-enhance chemical vapor deposition (PECVD) of 50nm SiN. The gate was formed by etching through the SiN to the AlN layer with a low-damage low-power sulfur hexafluoride (SF6) plasma and then depositing nickel/gold as the gate metal. The gate was 1.5μm long and 50μm wide. The gate-source spacing was 1.5μm. The distance between the gate and drain electrodes varied from 2μm up to 15μm. The gate was extended 0.75μm in the drain direction to create a field-plate.

The backside processing involved thinning and polishing the Si substrate down to 230μm, followed by local deep reactive-ion etch to the AlGaN buffer layer using the ‘Bosch process’ on a Surface Technology Systems tool. The Bosch technique involves a sequence of passivation and etch steps, which results in reproducible vertical walls and allows high aspect ratios to be achieved.

The local etch removed material around the drain contact. One potential drawback of the removal of material is degradation of thermal dissipation. The trenches were 20μm wide, extending over the gate-drain region.

The DC performance of the devices with local backside etching did show reduced performance in terms of maximum drain current and peak transconductance. In devices with 15μm gate-drain spacing, the maximum drain current without local Si removal was 0.7A/mm. This was reduced 28% to 0.5A/mm with Si removal. These values corresponded to specific on-resistances of 1.3mΩ-cm2 and 1.6mΩ-cm2 for the devices without and with Si removal, respectively. The researchers attributed the difference to self-heating effects due to inadequate thermal dissipation with local Si removal. High temperature reduces channel mobility in GaN-based devices.

Both devices had a low off-state current less than 10μA/mm, despite the lack of gate insulation.

Benchmarking of specific on-resistance versus breakdown voltage of GaN-on-Si transistors rated above 1kV.

Three-terminal breakdown voltage measurements were carried out in a ‘deep pinch-off’ state with the gate at -5V. The breakdown current of 1mA/mm was used. The breakdown voltage for both types of device increased linearly with gate-drain distances up to 8μm. Beyond 8μm, the breakdown for devices without substrate removal saturated at around 750V. The limitation is attributed to the electric field reaching down through the thin buffer (~1.8μm) and effecting conduction through the substrate.

With local substrate removal, the breakdown voltage continued to increase linearly to 1.9kV with a gate-drain distance of 15μm. The device compares well with ‘state-of-the-art’ in terms of high breakdown voltage and low specific on-resistance.

The researchers believe the technique could be used to extend the gate-drain spacing to ~30μm, allowing 3kV blocking to be reached with less than 5mΩ-cm2 specific on-resistance. Gate insulation would reduce leakage further. The team also suggests that a thick dielectric trench fill with, for example, AlN, could reduce self-heating effects.

Visit: http://iopscience.iop.org/1882-0786/7/3/034103/article

The author Mike Cooke is a freelance technology journalist who has worked in the semiconductor and advanced technology sectors since 1997 (Ref : Semiconductor Today)